Intrapreneur Social chez Leroy Merlin
Nicolas Cordier a participé à la conférence du 22 juin "l'entreprise libérée a-t-elle un avenir ?" organisé par le CJD Belgium.
Un grand moment de partage avec nos intervenants lors de cette soirée, au nom de tous les participants, nous les remercions chaleureusement.
Après 12 ans chez Leroy Merlin, en marketing, en magasin puis en centrale d'achat, Nicolas Cordier a proposé à son employeur de développer des activités pour les personnes en situation de précarité de logement en France. Ce projet est devenu son poste à plein temps et il est devenu Social Business Intrapreneur & Open Innovation pour cette enseigne. Il monte des partenariats avec des acteurs solidaires de terrain afin de bien cibler les bénéficiaires et leurs besoins.
Il nous explique comment remettre du sens dans l'entreprise et nous présente les initiatives prises par les salariés de l'entreprise Leroy Merlin. Il pilote un incubateur de projets permettant des solutions contre le mal-logement.
Il nous dit comment l'innovation sociale peut aller de pair avec la performance économique de l'entreprise.
Voici un article paru dans l'express, sur ces entrepreneurs sociaux, mouton a 5 pattes du monde de l'entreprise.
On parle de lui également dans Les intrapreneurs sociaux, ces missionnaires en col blanc
Il nous propose une série d'articles qui peuvent illustrer les propos de cette soirée formidable !
Les modes d’organisation et les pratiques de management ont peu évolué depuis plus d’un siècle. Le schéma majoritaire repose encore souvent sur quelques sachants qui déterminent les grandes orientations et disent ce qu’il faut faire à des exécutants. Certaines organisations ont mis en place un management à contrecourant, libérant l’énergie de leurs collaborateurs par la liberté et la responsabilité. Ce chemin reste cependant peu fréquenté. Peut-être parce que la route est longue. Peut-être aussi parce qu’il implique une conversion personnelle des managers qui doivent quitter une certaine toute-puissance et s’habituer au lâcher prise sans autre filet que la mission et les valeurs du projet qu’ils animent.
Parler d’entreprises libérées, de bonheur pour être performant, d’autonomie, de liberté, de responsabilité ou de pouvoir confié à ceux qui font, c’est effectivement parler de pratiques managériales à contre-courant. Pourtant des entreprises ont initié ce chemin, parfois long et semé d’embûches, d’une libération des énergies permettant d’atteindre des performances avec des salariés, non seulement engagés mais heureux !
Intervention d’Isaac Getz, de Medhi Berrada de Poult, de Laurent Marbacher, avec les exemples de SOL en Finlande, de SEW Usocome en Alsace et de Poult à Montauban.
Deux exemples inspirants, en texte et en vidéo :
> De DRH à Chief Happiness Officer, Laurence Vanhée a appliqué sa recette de transformation à un ministère belge : le bonheur au travail pour relever les défis de la performance et de maintien de l’activité
> Frédéric Lippi, PDG d’une PME charentaise, insiste qu’une erreur est moins grave que des salariés passifs et considère chaque collaborateur comme un adulte responsable, entrepreneur de son entreprise
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